Y'en a qui rentrent chez eux le soir après le boulot, et qui se rendent compte qu'il n'y a plus de gonzesse ni meubles dans la barraque = ça fait drôle quand même !
Il y a longtemps de cela, au début des années 2 000, une très belle
gyne présentant bien, d'âge confirmé et résidente d'une luxurieuse fourmilière située aux abords du port du canal à Dijon, m'accosta sur le quai le plus proche avec un air gêné alors que j'étais en tenue de pèche à rôder*, lancer au poignet, puis me demanda de lui donner un coup de main afin de vider son appartement qu'elle désertait apparemment de manière précipitée, voire même dans une certaine panique.
*
À rôder le carnassier et non la morue.
Je refusais courtoisement son "invitation" en me disant que l'autre, s'il se pointait à l'improviste et me tombait dessus, je n'avais plus qu'à rejoindre le club des écrevisses gisant à 2, 50 m sous la surface des eaux troubles et sous le couvert protecteur des nénuphars me rendant invisible pour sauver ma fragile
cuticule.
Mais avec une si belle nana, allez savoir si je n'avais pas plutôt raté ce coup là l'occasion de pêcher sans slip de bain dans les eaux troubles et tumultueuses de la Luxure (?).
