L'ADC proprement dite est en tôle galvanisé de 66 cm de long x 29 cm de large x 4,5 cm de haut et est ceinte sur ses bords supérieurs par mon traditionnel dispositif anti-évasion conçu avec de la cornière d'angle en PVC noir qui change du blanc souvent utilisé parce que « Noir c'est noir, il n'y a plus d'espoir ». Lol !
Et gris c'est gris, comme le temps qu'il fait à Dijon aujourd'hui.
Son fond est en polystyrène expansé de 6 mm d'épaisseur présentant des petits reliefs sur une face, ce qui fait plus naturel une fois peint. J'y ai ajouté par dessus d'autres plaques découpées en zigzag ainsi qu'un bloc un peu plus épais pour faire des sortes de promontoires qui accueilleront plus tard des bouchons nourrisseurs.
Le cadre en PVC noir et les plaques de polystyrène sont collés au joint silicone blanc. Un trou de 22 mm de diamètre a été percé avec un outil spécial dans le flanc droit de l'ADC pour brancher le tuyau cristal translucide qui en donnera l'accès à mes grosses fourmis noires parce que « Noir c'est noir, etc ».
Oui, ben... on le sait ! C'est désespérant à la fin.
Le décor d'arrière plan, chantourné en collines à la scie à guichet, fait 40 mm d'épaisseur, et les murs de côtés 28 mm. Le tout a été arrondi à la râpe à bois puis légèrement creusé par endroits au chalumeau pour lui donner un aspect accidenté.
Je passe sur le chantier et les miettes que ce travail a encore semer dans mon appartement, ainsi que sur le nombre de tubes de peinture et de pinceaux qui ont été sortis de leurs tiroirs pour donner des couleurs à l'ensemble.
Le décor d'arrière plan se glisse entre le mur et l'ADC, tout comme ses côtés, à droite et à gauche, contre les parois de la niche qui accueille cette dernière réalisation. Toutes les plantes sont bien entendu artificielles.
L'hiver n'étant pas encore parvenu à son terme, je me permets de bricoler encore un peu pour passer le temps ou de supprimer des trucs qui ne me plaisent plus, lesquels je remplace par de nouvelles créations.
En espérant que ce sujet vous aura plu.