Merci !
J'ai (avais) aussi des espèces réputées faciles, toutes chauffées à ± 25/26 °C en continu hors
diapause, depuis mars/avril :
- Camponotus nicobarensis : j'ai reçu une jeune
fondation l'année dernière et la
gyne est morte il y a un mois environ, sans jamais avoir un gros développement, ça stagnait et j'avais même des
nymphes nues. J'ai repris une fondation trigyne (je me suis fait plez

), pour l'instant ça se passe bien, mais je ne voudrais pas qu'il leur arrive la même chose...
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Messor minor hesperius, que j'ai reçu fin 2019 avec vingt ouvrières. Elles ont stagné pendant 2020 (j'ai dû loupé la diapause, j'avais pas de thermostat à mon tapis chauffant...). Elles se développent bien cette année mais j'ai de temps à autres quelques pertes, dont un gros
media à la tête bien rouge brique

...
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Pheidole pallidula que Issachar m'avait envoyée l'année dernière (gyne seule). Je lui ai renvoyée cette année, accompagnée d'une cinquante d'ouvrières (je pense, elles sont pas faciles à compter !!)
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Camponotus cruentatus de 2020, je suis monté à 6 ouvrières et là je suis retombé à 3... je leur ai coupé le chauffage il y a peu, également quelques nymphes nues...
Et j'avais aussi eu des
Messor capitatus et des des Lasius
sp. noires qui se développaient bien sans chauffage. Je les ai données depuis, j'avais peur de me faire envahir et de ne plus avoir de place...
Mon constat : mis à part les Pheidole (désolé pour les tiennes, j'espère qu'elles repartiront !), mes espèces chauffées ne se développent pas très bien => très mauvais pour les Campo et moyen-moyen pour les Messor... tu as une bonne expérience avec les cycles jour/nuit, je vais tenter la même chose. Si ça fonctionne pour des parius, ça devrait le faire pour des nicobarensis !