Pour ce qui est du passage où ça parle d'un manche à balais, tu ne vas plus cogiter longtemps avec l'I-D-É-MYR. Héhé !
Photo n° 1 ► Voici un biorama vide attendant que je le conditionne en hébergement d'accueil pour fourmis sans domicile fixe. Pauvres fourmis !
Photo n° 2 ► Là je te montre le réseau de canaux destinés à l'humidification, lequel réseau débute en étoile autour du puits de distribution de l'eau. Il humidifiera surtout le substrat terreux ou argilo-sableux dont sera peut-être un jour rempli ce biorama.
Photo n° 3 ► On voit que j'ai percé le bout du manche pour permettre à l'eau d'en sortit au moment du versement par l'autre embout qui sortira, quant à lui, à la surface du substrat de quelques centimètres voire davantage en fonction de son épaisseur.
Photo n° 4 ► Ici, le puits est inséré dans un trou de même diamètre traversant de socle en béton cellulaire de part en part et a été scellé par une patate de mortier colle mélangé à du sable grossier. On ne verra plus cette horrible patate lorsqu'elle sera enterrée sous le substrat. Et moi je suis une grosse patate verte !
Photo n° 5 ► Pour verser l'eau dans le puits d'humidification on y insère par le haut un entonnoir, sinon c'est comme faire pipi à côté de la cuvette de WC. Oh, le dégoûtant ! Il est met partout.
Photo n° 6 ► Lorsque l'arrosage est terminé, on referme le puits avec un bouchon au Ø approprié (ici un bouchon de bouteille de Porto) issu d'un autre type d'arrosage qu'un certain membre ici (un grenoblois) pratique autant que moi.
Photo n° 7 ► Et voilà ! Le tour est joué. Et, en plus, je suis content de ma technique.
Ce coup-ci, RatumPafPAf, tu sauras désormais tout sur le puits puits.