Lola a écrit :Ça fait plaisir de te relire...
Elles sont superbes... et ont une panse bien replète tes filles...
Tu les trouves vraiment plus difficiles que les autres Camponotus (bien qu'elles n'en soient plus vraiment) ?
Merci
@Lola.
Pas vraiment en fait, du moment qu'on a trouvé une formule (maintien et alimentation) qui marche.

Elles sont du même niveau que les autres Camponotus "difficiles" : C. pilicornis, C. sylvaticus, C. piceus...
Je dirais que c'est plus en fonction de la colonie (au sein d'une même espèce).
Chez les Colobopsis truncatus, il faut juste accepter qu'elles puissent se développer très lentement, qu'elles semblent avoir besoin de la présence de bois (non résineux) et qu'elles ne dépasseront probablement jamais les quelques centaines (deux ou trois cents normalement, même si on connait tous une certaine vidéo d'une magnifique colonie dans un
nid en bois, qui semble plus nombreuse que cela

).
On m'a expliqué que certaines gynes/fondations semblent dévorer davantage le
couvain que d'autres.
Je l'ai constaté en effet : la
fondation n°1 (celle de mon ancien blog) est restée à un effectif constant de 9 ouvrières pendant environ 6 mois et la
gyne (abimée) a même fini par mourir. Le couvain n'évoluait pas. D'autres colonies (n°2 et n°6) ne semblaient pas trop boulotter les œufs/larves et peuvent se retrouver à une vingtaine d'ouvrières en l'espace de quelques mois. Pour "Trunca 6", au bout d'un mois d'
hivernage, je les ai sorties temporairement de la cave à vin pour leur proposer un peu de sirop d'érable/d'agave et j'assiste à la naissance de 2 ouvrières en 2 jours.
Pourtant les conditions de maintien et de nourrissage étaient identiques. Je ne me l'explique pas vraiment.
Ah oui, et elles s'évadent très facilement en effet ! Je crois que c'est C-R qui m'avait prévenu à l'époque. Il avait raison.
Merci
@RollingMan. "repris" me convient bien en effet.
@Dronenature : merci, tu sais qu'elles aimaient tellement tes nids en bois que j'ai galéré à les remettre en tubes classiques pour le dodo hivernal.
